L'humanité célèbre ce 3 mai, la journée internationale de la liberté de la presse.
La journée mondiale de la liberté de la presse a été instaurée par l'Organisation des nations unies en décembre 1993 après la tenue du séminaire pour le développement d'une presse africaine indépendante et pluraliste, qui s'est déroulé à windhoek (Namibie) en 1991.
Cette journée est célébrée le 3 mai de chaque année, date à laquelle la déclaration de windhoek a été adoptée.
L'actualité nous le rappelle tragiquement de façon régulière : trop de journalistes, comme Chérif DIALLO de Espace Guinée disparu depuis 2015 , comme les journalistes et caricaturistes de Charlie Hebdo assassinés le 7 janvier 2015, Ghislaine Dupont et Claude Verdon, assassinés en 2013 au Mali alors qu'ils effectuaient un reportage pour radio France internationale (RFI) et tant d'autres encore, paient de leur vie leur engagement en faveur de la liberté de la presse.
En 2014, selon les chiffres de reporters sans frontières (RSF), 71 journalistes ont été tués, 826 arrêtés et 87 enlevés, sans compter les milliers de professionnels agressés, menacés ou contraints de fuir leur pays pour leur sécurité.
Les rangs occupés par la Guinée en ces dernières années selon les chiffres de reporters sans frontières : 101e (2017), 104e(2018), 107e (2019) et 110e (2020).
Ces chiffres en déduisent que les journalistes guinéens ont besoin plus de liberté pour mieux exercer leurs métiers.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire